L’autophagie, pierre angulaire du contrôle de la qualité cellulaire, a connu des avancées remarquables depuis la découverte des gènes liés à l’autophagie dans les années 1990. Des avancées récentes révèlent une manière mécaniquement plausible dont ces gènes collaborent pour encapsuler le matériel cellulaire dans des autophagosomes en vue d’une dégradation lysosomale. Il est désormais crucial d’explorer la manière dont ces ATG se coordonnent avec le trafic membranaire et la machinerie de transfert des lipides aux niveaux moléculaire et cellulaire.
Forts de ces connaissances moléculaires, nous pouvons moduler précisément l’autophagie afin de comprendre son rôle en tant que voie de réponse au stress dans les tissus et les organismes. Le domaine progresse rapidement en termes de compréhension des mécanismes et d’outils évolutifs. Alors que ces progrès se poursuivent, il est essentiel de se tenir au courant des avancées plus larges. Il est donc impératif de favoriser l’échange de connaissances entre les chercheurs sur l’autophagie issus de diverses disciplines. “Autophagy across scales” est le seul atelier de l’EMBO à offrir cette opportunité vitale. [Traduction DeepL de meetings.embo.org]
